Quarantaine

SOS Quarantaine

Alors… Par où commencer ? Il y a tant de choses à dire et peu en même temps. Mais ce qui est sûr, c’est que nous sommes tous concernés. Et oui, je parle bien du confinement. Vous en avez sûrement assez d’en entendre parler. Je suis du même avis, mais je crois qu’éviter le sujet repousse seulement le problème à plus tard. Alors nous allons en parler maintenant. Nous avons tous un seul mot à la bouche : Coronavirus. Ne vous inquiétez, je ne vais pas expliquer ce qui a déjà été dit, car ce serait à la fois redondant et déprimant. Je vais plutôt dire ce qui n’a pas été dit… Vous me suivez ? Je crois surtout que vous avez besoin de vous changer les idées tout en abordant les réalités de la quarantaine. Je vais, donc, me prononcer sur des aspects de la quarantaine sous forme de questions. Prêt ? Commençons !

 

Pourquoi avoir vandalisé les tablettes de papiers de toilette ?

 

Tout le monde la connaît celle-là ! On la doit à Facebook qui en a fait un nombre incalculable de memes. Pourtant, je ne suis pas certaine de comprendre pourquoi. La COVID-19 ne donne pas la diarrhée à ce que je sache… Bref, on doit cette pénurie à un excès de panique vis-à-vis les consommateurs. C’est de notre faute alors ? En partie oui, car on sentait le besoin de faire le plein de biens essentiels au début du confinement. À la suite de cet acharnement, les gens ont senti le besoin de publier sur les réseaux sociaux le manque de papiers de toilette. Pourtant, le papier hygiénique n’était pas en rupture de stock. Mais le fait qu’il est devenu une source de convoitise, en peu de temps, a produit une vague de surconsommation. Il l’a donc été par la suite.  Alors, disons que c’est assez choquant de voir qu’une simple publication peut avoir autant d’impact !

 

Raconte moi. Quelle est l’histoire du deux mètres ?

 

Il était une fois… Une chaussure qui avait perdu sa moitié. Un jour, lorsqu’elle se promenait seule dans la rue, elle la vit au loin. Elle était là, si près. Elle voulu s’approcher pour la retrouver, mais quelque chose la retenait, une phrase plutôt : « La règle du deux mètres […] » avait annoncé Legault. Elle ne pu aller la retrouver. Snif ! 

 


Évidemment, il était mieux pour les deux chaussures d’être éloignées pour éviter toute contagion. Aucune des deux ne voulaient causer l’envoi de l’autre chez le cordonnier. Elles vécurent donc leur amour à distance jusqu’à ce que les escarpins trouvèrent un remède. 

 

Des lacets… (En passant c’est une métaphore ! N’essayez pas à la maison de vous soigner avec.)

 

Finalement, toutes les chaussures reçurent leurs lacets et c’est ainsi que les deux chaussures vécurent heureux jusqu’au prochain confinement…

 

Alors tenez bon tout le monde. Respectez la restriction du deux mètres pour éviter le pire et les retrouvailles seront des plus touchantes.

 

Que pensez-vous du retour des jeunes dans les écoles et les garderies ?

 

Personnellement, je crois qu’il y a deux côté à la médaille. D’une part, je pense que le retour des enfants en milieux scolaires est une bonne idée, car cela permet aux jeunes de sortir de la maison, et ainsi permettre à leurs parents de travailler. Mais d’un autre côté, il y a énormément de restrictions et de précautions prises afin de réduire le nombre de cas. Ces mises en place entraînent beaucoup de stress. Aussi, il y a une réduction de sources d’amusement chez les jeunes comme les jouets, car cela augmenterait trop les risques de contamination.

 

Je suis donc partagé en ce qui concerne ces mesures, car elles ne me touchent pas directement. En effet, les écoles secondaires ne rouvriront pas avant le 1er septembre 2020 (cette date peut toujours changer). Ainsi, je ne vivrais pas tout de suite ce nouveau mode de vie qui me paraît, pour être honnête, vraiment angoissant. Mais sachez que vous n’êtes pas seul, car nous sommes tous dans cette situation difficile. 

 

Pour finir, je tiens à vous rappeler qu’il y aura des jours meilleurs et qu’il ne faut pas perdre espoir, car la fin du tunnel va arriver plus vite qu’on ne le croit. Et, il faudra être capable de passer au travers, car quelque chose me dit que nous n’avons pas fini avec les virus et que nous allons peut-être devenir familier avec la quarantaine. Qui sait ?

 

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